Le présent article ne vise nullement à
détourner les gens des guérisseurs. Au contraire, le malade qui
comprendra bien nos explications pourra même tirer un plus grand
avantage de son passage dans leur sillage. En effet, nous avons-nous
même recherché leurs traitements et nous en avons tiré un plus
grand bénéfice qu’à fréquenter certains médecins et d’autres
thérapeutes. Mais nous avons constaté que ces rencontres ne
donnaient des résultats stables que si nous y mettions du nôtre,
sans quoi tout était toujours à recommencer. Et y mettre du sien
revient à adopter une attitude évolutive qui comble les besoins de
ses trois dimensions d’être humain : le corps, l’âme et
l’Esprit. Ainsi, par nos propos, nous comptons uniquement expliquer
dans quel état d’esprit il faut se présenter aux guérisseurs
pour éviter toute domination autant que toute sujétion ou
dépendance. Dès le départ, ce qu’il importe de savoir, c’est
que tout être peut se guérir lui-même, mais que personne ne peut
guérir un autre, ce qui serait de la prétention. Le guérisseur
n’est qu’un facilitateur. Il se présente comme une personne qui
détient des connaissances ou un niveau vibratoire plus élevé que
la moyenne parce que, s’aimant davantage que les autres, il jouit
d’un plus grand afflux d’énergie vitale qu’eux. Dans son
traitement, par contagion, pour ainsi dire, son champ magnétique se
répand à l’intérieur de la personne malade qu’il traite,
créant un espace pour qu’elle puisse s’aimer davantage. Dans
cette démarche, chez le malade, l’espace contracté qui causait la
maladie, s’ouvre, ce qui permet à la guérison de se
produire.
Lors d’un traitement thérapeutique, dans sa fonction d’assistant, un être ne peut que servir de canal de l’énergie vitale qui émane de la Conscience cosmique ou de la Source suprême, ce que certains appellent agir comme facilitateur. C’est le patient qui se guérit luimême dans la mesure où il accepte de laisser librement circuler en lui cette force vitale susceptible d’accélérer ses propres mécanismes de restauration psychique ou de réparation corporelle. Dans toutes les techniques thérapeutiques couronnées de succès, l’auxiliaire de la guérison doit s’induire dans un état où il se trouve en contact avec la force de guérison et où il entre en accord avec l’Esprit cosmique. Il dit se brancher, ce qui se produit dans la mesure où il se détache du monde extérieur et de ses attentes de résultat pour glisser dans
un état second analogue au rêve éveillé. Il est d’autant plus efficace qu’il peut renoncer à son identité (réduire son ego) et à sa volition. C’est grâce à son extrême réceptivité psychique qu’il prouve qu’il n’est pas la cause de la guérison, mais l’instrument de la Force vitale du Cosmos.
Une seconde caractéristique universelle du guérisseur, c’est son sentiment d’unité avec le sujet qu’il traite, comme s’il se fondait d’une part avec son âme et, d’autre part, avec l’Âme universelle. Expérimentalement, son unification ressemble à la fusion d‘un sujet hypnotisé avec l’environnement une fois que le sujet a renoncé à sa propre structuration complexe personnelle. C’est raccordé à son patient par ce lien commun que le guérisseur mobilise et assiste le propre mécanisme de réparation personnel de celui qu’il aide. Plus qu’on le croit, cette technique implique de l’entraînement, de la pratique et de l’expérience. Mais, outre la bonne volonté et la compétence du guérisseur, il faut rappeler un autre critère des plus importants. Tout comme le guérisseur doit être réceptif à la Lumière cosmique, le sujet traité doit l’être autant. Le guérisseur sert d’amplificateur de la lumière, il n’est pas la lumière elle-même. En tant qu’amplificateur accordé aux vibrations, il n’ajuste ni ne change les vibrations, il les canalise, partageant ce qu’il reçoit avec le sujet avec lequel il est également accordé. Le guérisseur devient un maillon entre la Source divine et le sujet, bien qu’il ne soit pas le seul. En réalité, il est dans un état de résonance entre Dieu et le sujet et c’est par résonance qu’il induit un équilibre harmonieux chez un sujet réceptif. Si le sujet n’est pas ouvert à l’influence du guérisseur, par sa réceptivité à l’Harmonie cosmique, le processus inductif ne peut pas se poursuivre et se compléter en lui. La plus grande cause d’échec, dans la guérison spirituelle, c’est le manque de réceptivité du sujet. Mais le guérisseur psychique peut aussi créer des interférences, par exemple s’il est fatigué, malade, distrait, dispersé, tendu, émotionnellement perturbé, vaniteux ou condescendant, comme s’il n’est pas en affinité avec le sujet qu’il traite.
Connaissant les principes cosmiques et les ayant longuement expérimenté, un guérisseur peut donner des traitements à distance, notamment dans un cas d’urgence ou de détresse. Mais, alors, il n’opère aucun miracle. Plutôt, il agit en accord avec les lois naturelles et les principes cosmiques. En pareil cas, au-delà du temps et de l’espace, il recourt à une visualisation scientifiquement projetée au niveau psychique. Mais cette intervention doit satisfaire à la loi de compensation cosmique, sans quoi aucun soulagement physique ou mental ne peut se produire. Pendant l’opération à distance, le sujet traité doit se mettre dans un état de méditation réceptive une quinzaine de minutes. Par son traitement à distance, le guérisseur peut alors affecter le champ électromagnétique du sujet traité, aidant la Force cosmique à restaurer en lui l’équilibre. Ce traitement provoque une action évolutive éveillant de nouveaux potentiels, autant chez le guérisseur que chez le sujet traité.
Ainsi, pour tous ceux qui cherchent sincèrement le sens de la vie et qui savent se mettre en accord avec la Source cosmique, le traitement spirituel peut combler toutes leurs espérances. L’idéal reste d’apprendre à se donner soi-même de tels traitements puisque chacun détient toutes les potentialités qu’un autre peut avoir activées et qu’il peut lui démontrer.
Lors d’un traitement thérapeutique, dans sa fonction d’assistant, un être ne peut que servir de canal de l’énergie vitale qui émane de la Conscience cosmique ou de la Source suprême, ce que certains appellent agir comme facilitateur. C’est le patient qui se guérit luimême dans la mesure où il accepte de laisser librement circuler en lui cette force vitale susceptible d’accélérer ses propres mécanismes de restauration psychique ou de réparation corporelle. Dans toutes les techniques thérapeutiques couronnées de succès, l’auxiliaire de la guérison doit s’induire dans un état où il se trouve en contact avec la force de guérison et où il entre en accord avec l’Esprit cosmique. Il dit se brancher, ce qui se produit dans la mesure où il se détache du monde extérieur et de ses attentes de résultat pour glisser dans
un état second analogue au rêve éveillé. Il est d’autant plus efficace qu’il peut renoncer à son identité (réduire son ego) et à sa volition. C’est grâce à son extrême réceptivité psychique qu’il prouve qu’il n’est pas la cause de la guérison, mais l’instrument de la Force vitale du Cosmos.
Une seconde caractéristique universelle du guérisseur, c’est son sentiment d’unité avec le sujet qu’il traite, comme s’il se fondait d’une part avec son âme et, d’autre part, avec l’Âme universelle. Expérimentalement, son unification ressemble à la fusion d‘un sujet hypnotisé avec l’environnement une fois que le sujet a renoncé à sa propre structuration complexe personnelle. C’est raccordé à son patient par ce lien commun que le guérisseur mobilise et assiste le propre mécanisme de réparation personnel de celui qu’il aide. Plus qu’on le croit, cette technique implique de l’entraînement, de la pratique et de l’expérience. Mais, outre la bonne volonté et la compétence du guérisseur, il faut rappeler un autre critère des plus importants. Tout comme le guérisseur doit être réceptif à la Lumière cosmique, le sujet traité doit l’être autant. Le guérisseur sert d’amplificateur de la lumière, il n’est pas la lumière elle-même. En tant qu’amplificateur accordé aux vibrations, il n’ajuste ni ne change les vibrations, il les canalise, partageant ce qu’il reçoit avec le sujet avec lequel il est également accordé. Le guérisseur devient un maillon entre la Source divine et le sujet, bien qu’il ne soit pas le seul. En réalité, il est dans un état de résonance entre Dieu et le sujet et c’est par résonance qu’il induit un équilibre harmonieux chez un sujet réceptif. Si le sujet n’est pas ouvert à l’influence du guérisseur, par sa réceptivité à l’Harmonie cosmique, le processus inductif ne peut pas se poursuivre et se compléter en lui. La plus grande cause d’échec, dans la guérison spirituelle, c’est le manque de réceptivité du sujet. Mais le guérisseur psychique peut aussi créer des interférences, par exemple s’il est fatigué, malade, distrait, dispersé, tendu, émotionnellement perturbé, vaniteux ou condescendant, comme s’il n’est pas en affinité avec le sujet qu’il traite.
Connaissant les principes cosmiques et les ayant longuement expérimenté, un guérisseur peut donner des traitements à distance, notamment dans un cas d’urgence ou de détresse. Mais, alors, il n’opère aucun miracle. Plutôt, il agit en accord avec les lois naturelles et les principes cosmiques. En pareil cas, au-delà du temps et de l’espace, il recourt à une visualisation scientifiquement projetée au niveau psychique. Mais cette intervention doit satisfaire à la loi de compensation cosmique, sans quoi aucun soulagement physique ou mental ne peut se produire. Pendant l’opération à distance, le sujet traité doit se mettre dans un état de méditation réceptive une quinzaine de minutes. Par son traitement à distance, le guérisseur peut alors affecter le champ électromagnétique du sujet traité, aidant la Force cosmique à restaurer en lui l’équilibre. Ce traitement provoque une action évolutive éveillant de nouveaux potentiels, autant chez le guérisseur que chez le sujet traité.
Ainsi, pour tous ceux qui cherchent sincèrement le sens de la vie et qui savent se mettre en accord avec la Source cosmique, le traitement spirituel peut combler toutes leurs espérances. L’idéal reste d’apprendre à se donner soi-même de tels traitements puisque chacun détient toutes les potentialités qu’un autre peut avoir activées et qu’il peut lui démontrer.
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